« Révolution du Monde Hurlant », mon nouveau roman de fantasy, vient de paraître. Il est possible de le commander ici. 📖
Il y a une carte dans « Révolution dans le Monde Hurlant », mais pour vous aider à vous y retrouver dans les voyages de Tim Keller (et d’ailleurs tout cela est valable également pour ma duologie « Merveilles du Monde Hurlant »), voici la carte complète. On y aperçoit des endroits qui ne sont que mentionnés dans le texte, et jamais explorés directement.
Le Fictiologue 
Impressionnant ! Stevenson disait qu’il avait écrit l’ile au trésor avec la carte de l’ile sous les yeux, dessiné par ses soins – dessin qu’il avait malheureusement perdu ensuite et qu’il n’a jamais pu reproduire – et que sans la carte, il n’aurait pas pu écrire la partie « dans l’ile ».
Et toi ? tu as fait la carte en cours de route, avant de commencer, après coup ?
t’en es tu servi en songeant à ton histoire ? en l’écrivant ?
raconte !
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La réponse à cette question est un peu compliquée.
Il existait une carte – pas tout à fait celle-ci – que j’ai utilisé quand le Monde Hurlant – qui ne s’appelait pas le Monde Hurlant – était un décor de campagne de jeu de rôle. Quand j’ai écrit « Merveilles du Monde Hurlant » – qui ne s’appelait pas « Merveilles du Monde Hurlant » -, j’y suis allé un peu à l’aveuglette, pensant connaître la carte par cœur, mais en m’y replongeant, je me suis aperçu que ce n’était pas vraiment le cas: j’ai dû retoucher un peu la carte pour qu’elle corresponde mieux au texte, et j’ai rajouté quelques détails supplémentaires. Rebelote quand j’ai écrit « Révolution dans le Monde Hurlant », comme je n’ai pas trop consulté la nouvelle carte, j’ai été obligé de déplacer et de modifier un ou deux trucs.
Si un jour j’écris « La Chute du Monde Hurlant », je vais garder cette carte, parce que le parcours des personnages est, cette fois-ci, assez clair dans ma tête. Raison pour laquelle je publie ce document maintenant – pour la première fois, il a un côté définitif.
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J’adore les cartes, la géographie y est tout sauf garce. Fille d’une terre maritime, embarquée au creux de collines sans mer, je guette les rivières et leur nom. Les vôtres n’en ont pas. Pas encore ?
🙂
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Il y a des limites au nombre d’informations que l’on peut inclure sur une carte à cette échelle (le continent est à peu près de la taille de l’Afrique). J’ai sacrifié les noms des lacs et des fleuves. Mais il est vrai que de nombreux cours d’eau n’ont pas été baptisés
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