Le blog What About a Dragon propose un projet intitulé « Plumorama », où des auteurs sont interrogés sur la condition d’écrivain et sur l’avenir du monde de l’édition. J’ai eu la grande chance d’être interviewé dans le cadre de cette série, que je ne peux que vous encourager à découvrir dans son intégralité si ces thèmes vous intéressent.
lu l’entrevue (et d’autres après sur le plumorama ; intéressé/interpelé par le manque d’une définition de entre l’auteur (forcément pro et connu) et l’amateur (forcément obscur et sans lecture), le fait que devenir écrivain de métier n’offre pas nécessairement la liberté d’écrire [et puisse même réduire drastiquement cette liberté]
et puis épaté par votre vitesse d’écriture : il me faut deux bonnes heures pour tricoter une ou deux pages potables.
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Oui, je partage votre désarroi: le monde de l’édition est loin d’être aussi épanouissant qu’on pourrait le souhaiter. Selon moi, la bonne chose à faire est de continuer à écrire sans attentes particulières, et de saisir les opportunités qui se présentent, en profitant au maximum quand elles sont réjouissantes.
Et oui, j’écris très vite, c’est une chance, c’est aussi une déformation professionnelle, et puis je ne me juge jamais quand j’écris, ce qui aide énormément: on a tout le temps lors de la relecture pour corriger ce qui doit l’être, selon moi.
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J’avais déjà constaté le désagrément de devenir professionnel en suivant des amis musiciens qui tentaient de passer d’excellents amateurs (jouant ce qu’ils voulaient quand ile voulaient, et gagnant un peu de sous au passage) au statut de pros (obligation de jouer « suffisamment », à la demande, pour gagner le minimum qui paie le loyer et la soupe…)
Je compte bien suivre votre avis, écrire pour le plaisir et me réjouir de ce que se présente.
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